Elzéard : en voilà un nom bizarre ! Hommage à Jean Giono et à sa nouvelle "L'homme qui plantait des arbres", Elzéard Bouffier en est le personnage central. Cette histoire, belle et passionnante, est parue en 1953 et n'a pas pris une ride tant son message est empreint d'humanisme, je vous en recommande la lecture. Merci et bravo aux semeurs, agriculteurs et autres jardiniers qui font leur possible pour rendre ce monde toujours vert et fleuri !
L'homme qui plantait des arbres
mardi 11 décembre 2012
Les oies sauvages
Tout récemment, mes soeurs du Québec m'ont offert le dernier album du groupe Mes Aïeux : "A l'aube du printemps", c'est une très belle réussite que je ne me lasse pas d'écouter. Parmi les chansons de l'album, j'aime particulièrement le titre "Les oies sauvages". Pas de rapport direct avec le titre de Michel Delpech ou les oies du merveilleux voyage de Nils Holgersson que je sache...
Je vous laisse apprécier la chanson, en voici la vidéo :
"Elles arrivent au printemps / sur les ailes du vents / par les routes de l'air.
Drôle de géométrie, / c'est un fil qui les lie / dans leur vol angulaire.
Toutes unies à la chaîne / derrière l'oie capitaine / qui connait le chemin.
Le nid originel, / la toundra les appelle, / et guide leur instinct.
Tour à tour elles prendront / la tête du peloton, / le temps d'une gouvernance.
Jusqu'au bout de leurs forces / elles bomberont le torse / pour que le groupe avance.
Une fois épuisées, / la place sera cédée / à un autre plus fort.
Et le chef volatile / prend la queue de la file, / fier de tous ses efforts.
A chaque nouveau passage, / des volées d'oies sauvages / j'entends comme un appel.
Une voix qui me répète / que, malgré les défaites, / on a encore nos ailes.
Quelle belle leçon / que ces oiseaux nous font, / obstinés et fidèles.
Faudra qu'on se console / et qu'ensemble on s'envole / dans les draps bleus du ciel."
Je vous laisse apprécier la chanson, en voici la vidéo :
"Elles arrivent au printemps / sur les ailes du vents / par les routes de l'air.
Drôle de géométrie, / c'est un fil qui les lie / dans leur vol angulaire.
Toutes unies à la chaîne / derrière l'oie capitaine / qui connait le chemin.
Le nid originel, / la toundra les appelle, / et guide leur instinct.
Tour à tour elles prendront / la tête du peloton, / le temps d'une gouvernance.
Jusqu'au bout de leurs forces / elles bomberont le torse / pour que le groupe avance.
Une fois épuisées, / la place sera cédée / à un autre plus fort.
Et le chef volatile / prend la queue de la file, / fier de tous ses efforts.
A chaque nouveau passage, / des volées d'oies sauvages / j'entends comme un appel.
Une voix qui me répète / que, malgré les défaites, / on a encore nos ailes.
Quelle belle leçon / que ces oiseaux nous font, / obstinés et fidèles.
Faudra qu'on se console / et qu'ensemble on s'envole / dans les draps bleus du ciel."
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